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  • 49
    observations

  • 12
    communes

  • 27
    observateurs
    1
    organisme

  • Première observation
    1975

  • Dernière observation
    2023
Bonnet Jean - Boyer Jerome - Costes Geraldine - Cuenin Christophe - Dahier Thierry - Deffrennes Benoit - Descamps Régis - Descaves Bruno - Dissac Yann - Dugueperoux Franck - Fonderflick Jocelyn - Gineste Benoit - Hennebaut David - Hugonnet Serge - Jamier Myriam - Kocher François - Lucas Philippe - Malafosse Isabelle - Martin Patrice - Molto Jerome - Moreau Michel - Picq Hervé - Pinna Jean-louis - Quillard Valerie - Rival Andre - Rombaut Cyril - Torreilles Gérard
  • Parc National des Cévennes
    Participation à 49 Observations
    Part d'aide à la prospection : 100.00 %

    Fiche organisme

Informations espèce

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Espèce eurasiatique en reproduction, largement distribuée dans les habitats à la fois tempérés et boréaux, le Chevalier culblanc descend hiverner en Europe atlantique, en Afrique et en Asie. Plus continental que les autres chevaliers, il est fréquent au bord des cours d'eau et des petites pièces d'eau douces. Le retour prénuptial, sur le territoire du PNC, débute dans le courant de la dernière décade de mars, date précoce le 19 mars 2003, au Vigan, pour culminer en avril. Très solitaire, les effectifs groupés ne sont jamais importants, tout au plus 5 individus ensemble, comme par exemple le 22 juillet 2000 à l’étang de Barrandon (1370 m). Considérant que cette espèce ne niche pas dans notre région ni sur le territoire national, les derniers migrateurs prénuptiaux attardés croisent sans doute les premiers migrateurs postnuptiaux déjà pressés de redescendre ! Les femelles sont connues pour redescendre très tôt dès le mois de juin. La présence du Chevalier culblanc est en effet continue sur la période estivale avec un pic de retour postnuptial à la charnière juillet-août et un passage d'automne qui s'étire jusqu'à début septembre, 1 individu le 11 septembre 1989 au lac des Pises (1260 m, commune de Dourbies) et un dernier le 30 septembre 1987 sur la lavogne de Hures (Causse Méjean). Curieusement, une mention dans la base de données rapporte un groupe de 18 individus le 16 août 2011 au lac des Pises, effectif qui, s'il était confirmé pour cette espèce et pour la surface restreinte de cette pièce d’eau d’altitude, constituerait une exception (un tel effectif s'accorderait davantage au Chevalier guignette qui montre fréquemment des regroupements en migration). Un contact tardif est encore signalé en date du 02 novembre 2016 mais reste marginal quoique ces dernières années, quelques rares individus ont réussi un hivernage complet en Margeride lozérienne à une vingtaine de kilomètres au Nord du territoire du PNC
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Pas de synonymes pour ce taxon

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles