Mulot sylvestre

Apodemus sylvaticus (Linnaeus, 1758)

Classe : Mammalia Ordre : Rodentia Famille : Muridae Sous-Famille : Murinae Tribu : Apodemini Genre : Apodemus
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  • 149
    observations

  • 35
    communes

  • 29
    observateurs
    1
    organisme

  • Première observation
    1998

  • Dernière observation
    2024
Barraud Remy - Boyer Jerome - Bruce Nicolas - Coenders Sylvie - Costes Geraldine - Deffrennes Benoit - Descamps Régis - Descaves Bruno - Descaves Sandrine - Fivel Agathe - Fonderflick Jocelyn - Garde Maxence - Garnier Gilles - Hache Sébastien - Hennebaut David - Henry Isabelle - Herault Emilien - Jamier Myriam - Karczewski Gaël - Malafosse Isabelle - Malafosse Jean-pierre - Meynet Laurie - Molto Jerome - Picq Hervé - Quillard Valerie - Riffard Sigrid - Rombaut Cyril - Sulmont Emeric - Tabone Laure
  • Parc National des Cévennes
    Participation à 136 Observations
    Part d'aide à la prospection : 91.28 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Le Mulot sylvestre paraît légèrement plus costaud que notre souris domestique bien qu’il présente à peu près les mêmes mensurations. En main, ou à l’observation directe, il est aisément reconnaissable à son pelage brun clair, plus ou moins mêlé de poils grisâtres, à ses grandes oreilles et à sa longue queue mais surtout à ses grands yeux ronds en boutons de bottines. Certains individus présentent parfois une tache ocre-jaunâtre entre les pattes antérieures laissant alors un doute sur l’identification de l’espèce. Malgré son qualificatif de sylvestre, outre le milieu forestier, il fréquente aussi bien les haies que les friches arborées, plus ou moins buissonnantes. Par contre, il est absent des grandes surfaces ouvertes telles que les champs et les prés.
Sur le territoire du Parc national, riche en habitats buissonnants et arborés, il est omniprésent, ce que révèle la base de données. Et c’est sans doute le micromammifère le plus abondamment représenté, en surface et en biomasse et à ce titre une proie majeure des prédateurs (rapaces nocturnes, renard, mustélidés, reptiles...). Les mulots sont actifs surtout au crépuscule et la nuit. Ils n’hibernent pas et leurs traces et voies dans la neige trahissent souvent, au petit matin, leur intense activité nocturne. Il n’est pas rare non plus de le voir traverser les routes la nuit, par temps sec comme par temps pluvieux, et on peut remarquer à cette occasion son déplacement par bonds, au contraire des campagnols qui courent sur la chaussée.
Non renseigné pour le moment
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Apodemus alpinus Burg | Apodemus bergensis | Apodemus butei | Apodemus callipides | Apodemus celticus | Apodemus creticus | Apodemus cumbrae | Apodemus fiolagan | Apodemus flaviventris | Apodemus ghia | Apodemus hebridensis | Apodemus hirtensis | Apodemus intermedius | Apodemus islandicus | Apodemus krkensis | Apodemus larus | Apodemus sylvaticus clanceyi | Apodemus sylvaticus dichruoides Miric, 1960 | Apodemus sylvaticus falzefeini Mezhezerin-Zadorodnyuk, 1989 | Apodemus sylvaticus hermani Felten & Storch, 1970 | Apodemus sylvaticus hessei Miric, 1960 | Apodemus sylvaticus iconicus | Apodemus sylvaticus ilvanus Kahmann & Niethammer, 1971 | Apodemus sylvaticus kilikiae | Apodemus sylvaticus milleri de Beau, 1926 | Apodemus tirae | Apodemus tural | Apodemus vulgaris | Mus sylvaticus Linnaeus, 1758

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles