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  • 42
    observations

  • 17
    communes

  • 23
    observateurs
    1
    organisme

  • Première observation
    1976

  • Dernière observation
    2023
Bernardi Catherine - Bonnel Celine - Bonnet Jean - Bruc Yves - Commandre Bernard - Descaves Sandrine - Dugueperoux Franck - Guillosson Jean-yves - Hennebaut David - Jamier Myriam - Malafosse Isabelle - Malafosse Jean-pierre - Parc National Cévennes - Picq Hervé - Pinna Jean-louis - Pucheral Francis - Redon Maxime - Reversat Lucien - Rival Andre - Rombaut Cyril - Soliveres Jordi - Thomas Nathalie - Vernhet Gilles
  • Parc National des Cévennes
    Participation à 42 Observations
    Part d'aide à la prospection : 100.00 %

    Fiche organisme

Informations espèce

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La Cigogne blanche niche en Europe occidentale tempérée, en Afrique du Nord et jusqu'aux confins de la péninsule arabique. Elle descend hiverner en Afrique subsaharienne et jusqu'en Afrique du Sud. Elle survole le territoire du PNC à l'occasion de son double passage. La Cigogne blanche remonte tôt au printemps, de mars à mai, avec la date précoce du 19 février 2020 au Vigan, et des effectifs parfois conséquents : 50 individus ensemble le 23 mars, en 2017 à Saint-Etienne-Vallée-Française, 50 encore le 08 mai, en 2013 à Meyrueis, et un record d’effectif avec 63 oiseaux le 18 mai 2012 sur le Causse Méjean. Cependant, les effectifs ainsi que la fréquence des observations restent modestes, le gros des troupes ayant plutôt tendance à emprunter le couloir rhodanien plus à l'Est lors de ses transits migratoires. Vues le plus souvent en vol, elles se posent aussi volontiers en halte migratoire, parfois en plein champs mais adoptent aussi fréquemment les bâtiments, les toits élevés des églises, les poteaux téléphoniques et les pylônes ce qui est parfois cause d'électrocution, un des risques majeurs pour ces grands oiseaux en migration. Notons ce groupe, de 34 individus en halte migratoire, observé le 12 août 2021 sur la plaine de Chanet (Causse Méjean) et un individu, portant une bague polonaise, le 24 août 2000 près de Deïdou sur le même Causse Méjean La migration postnuptiale débute tôt, dès les premiers jours d'août avec une date précoce le 14 juillet 2015 à Florac, et s'étire jusqu'aux premiers jours d'octobre et même en novembre avec la date extrême de présence de 12 individus en migration le 27 novembre 1987 au Rozier.
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Ardea ciconia Linnaeus, 1758 |

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles