Faucon d'Éléonore

Falco eleonorae Géné, 1839


Classe : Aves Ordre : Falconiformes Famille : Falconidae Genre : Falco

  • 53
    observations

  • 25
    communes

  • 31
    observateurs
    1
    organisme

  • Première observation
    1979

  • Dernière observation
    2024
Bertrand Nicolas - Bonnet Jean - Boyer Jerome - Cuénin Christophe - Deffrennes Benoit - Descamps Régis - Descaves Bruno - Feutry Sébastien - Fleith Patrick - Fonderflick Jocelyn - Foubert Dominique - Guillosson Elisabeth - Guillosson Jean-yves - Herault Emilien - Herrera Antoine - Hugonnet Serge - Jonard Aymeric - Karczewski Gaël - Kocher François - Laurent Alban - Meynet Laurie - Molto Jerome - Moschetti Maily - Picq Hervé - Pinna Jean-louis - Ravel Pascal - Ricau Bernard - Rombaut Cyril - Sarrazin Françoise - Seon Jean - Torreilles Gérard
  • Parc National des Cévennes
    Participation à 52 Observations
    Part d'aide à la prospection : 98.11 %

    Fiche organisme

Informations espèce

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Cette espèce niche dans le bassin méditerranéen et sur les côtes atlantiques marocaines et s’en va hiverner à Madagascar. C’est au cours de ses pérégrinations migratoires que l’espèce survole l’espace du Parc national des Cévennes. En effet, l’espèce ne nichant plus sur les côtes méditerranéennes françaises, ce sont des oiseaux à la fois en transit migratoire et des oiseaux immatures en erratisme qui montent chasser sur les contreforts et sur les hauteurs du territoire du Parc. Entre les dates extrêmes des 14 avril, en 2016 à Cendras, et 29 octobre, en 2011 à l’étang de Barrandon (Mont Lozère), le Faucon d’Eléonore est contacté tous les mois durant la belle saison mais avec une nette abondance pendant les mois de juin et juillet. C’est surtout sur le secteur de Cendras, près d’Alès, sur le piémont Cévenol que les plus forts effectifs et rassemblements d’oiseaux en activité de chasse et en dortoir sont observés, particulièrement à la charnière juin - juillet : 15 individus le 22 juin 2015 et jusqu’à 21 individus le 11 juillet 1992. Les données plus en altitude sur le territoire du Parc sont plus sporadiques mais des oiseaux sont assez régulièrement notés sur le Causse Méjean et sur le Mont Lozère. Les mouvements d’automne sont plus aléatoires et les effectifs observés de moindre importance, n’excédant que rarement 1 à 2 individus, 3 individus au maximum le 14 septembre 2020 à Cans-et-Cévennes par exemple. Concernant les patterns de coloration, sur 241 données renseignées, 71 % se rapportent à la forme claire et 29 % à la forme sombre.
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Pas de synonymes pour ce taxon

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles