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  • 53
    observations

  • 24
    communes

  • 30
    observateurs
    1
    organisme

  • Première observation
    1984

  • Dernière observation
    2023
Bagnolini Constant - Barraud Remy - Bernardi Catherine - Bertrand Nicolas - Bonnet Jean - Boutin Jean-yves - Coenders Sylvie - Costes Geraldine - De Feraudy Edwige - Deffrennes Benoit - Descamps Régis - Descaves Bruno - Descaves Sandrine - Fort Clément - Foubert Dominique - Garnier Gilles - Henry Isabelle - Herault Emilien - Hugonnet Serge - Jamier Myriam - Lamarche Béatrice - Malafosse Isabelle - Malafosse Jean-pierre - Outrebon Juliette - Picq Hervé - Pinna Jean-louis - Rombaut Cyril - Sulmont Emeric - Thomas Nathalie - Zimmerman Samuel
  • Parc National des Cévennes
    Participation à 53 Observations
    Part d'aide à la prospection : 100.00 %

    Fiche organisme

Informations espèce

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La Grue cendrée est une estivante nicheuse sur tout le continent eurasiatique tempéré et froid. Les populations des contrées nordiques d’Europe et de Russie quittent les marais de lisières forestières qu’elles affectionnent pour descendre en hiver vers la France, où elle stationne de plus en plus fréquemment et en nombre ces deux dernières décennies, la péninsule ibérique et l’Afrique du Nord. Grande migratrice, l’espèce ne fait que survoler le territoire du PNC. Si sa voie de migration privilégiée, en France, entre la Champagne et les Pyrénées-Atlantiques, se situe bien à l'Ouest du Parc, ces dernières années, un effectif non négligeable, de l'ordre de quelques milliers d'individus, prend progressivement l'habitude de séjourner en hiver sur les rizières de Camargue et de Petite Camargue gardoise. Et c'est sans doute en lien avec ce nouveau comportement qu'on peut interpréter le nombre croissant d'observations, ces dernières années, d'oiseaux en transit sur les Cévennes. Principalement contactée en vol, aucun habitat du PNC ne semble suffisamment vaste et attractif sur le plan alimentaire pour accueillir le séjour d'oiseaux en haltes migratoires. Le passage postnuptial en octobre et novembre, date la plus précoce le 27 octobre 2016 (60 individus en vol à Rousses), semble légèrement prépondérant sur la remontée printanière de l'espèce en février et mars, date extrême de présence le 10 avril 2013, 19 individus en vol à Sumène. La date du 21 avril 2022, très tardive, concerne un seul individu apparemment affaibli ou blessé resté bloqué plusieurs jours dans les gorges du Tarn à Ispagnac. Les effectifs soulignent eux aussi une migration postnuptiale un peu plus importante et remarquée que celle du printemps, avec des records d'effectifs de 250 oiseaux le 02 novembre 2007 au-dessus de Fraissinet- de-Fourques ou 350 le 15 novembre 2019 à Meyrueis contre 200 le 28 février 2015 à Ventalon en Cévennes ou 100 le 27 février 2020 à Saint-Germain-de-Calberte.
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Ardea grus Linnaeus, 1758 | Megalornis grus (Linnaeus, 1758)

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles