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  • 927
    observations

  • 43
    communes

  • 98
    observateurs
    1
    organisme

  • Première observation
    1974

  • Dernière observation
    2024
Anglio Gregory - Baret Richard - Barraud Remy - Baty Stéphane - Benoit Mariane - Bigorne Jean-luc - Bonnel Celine - Bonnet Jean - Bonnet Roger - Boyer Jerome - Brianceau Lucille - Brien Yves - Buronfosse Aymeric - Cardon Hervé - Casse Maël - Chapelle Brigitte - Chenard Michaël - Coenders Sylvie - Costes Geraldine - Cuenin Christophe - Cuénin Christophe - Deffrennes Benoit - Descamps Régis - Descaves Bruno - Descaves Sandrine - Devevey Caroline - Digier Marion - Dinocheau Emmanuel - Dugueperoux Franck - Fabre Jean-marie - Fonderflick Jocelyn - Forge Sandrine - Fort Clément - Foubert Dominique - Franck Duguépéroux - Garde Maxence - Garnier Gilles - Gineste Benoit - Giral Cedric - Granier Nicolas - Gueniot Pierre - Guerin Hubert - Guillosson Jean-yves - Hache Sébastien - Hennebaut David - Herault Emilien - Herrera Antoine - Holstein Véronique - Hopkins Frantz - Hugonnet Serge - Jamier Myriam - Jys Michel - Lacombe Jean - Lacroix André - Lafon Nicolas - Lamarche Béatrice - Laurent Alban - Lecomte Caroline - Lemaitre Olivier - Lenganey Denis - Lucas Philippe - Maccagno Yves - Malafosse Isabelle - Malafosse Jean-pierre - Malthieux Laurent - Malvaud Frédéric - Marie Julien - Marquis Stéphane - Martin Patrice - Mauvais M - Menut Marcel - Milhau François - Molto Jerome - Moreau Michel - Nappee Christian - Outrebon Juliette - Parc National Cévennes - Patrice Martin - Picq Hervé - Pinna Jean-louis - Plombat Jean-victor - Quillard Valerie - Redon Maxime - Ricau Bernard - Richardier Yves - Riffard Sigrid - Rival Andre - Roland Jaffuel - Rombaut Cyril - Seon Jean - Solier Eléonore - Soliveres Jordi - Sulmont Emeric - Tisne Jean-michel - Torreilles Gérard - Toutain Yann - Tremauville Y - Valleix Laurette
  • Parc National des Cévennes
    Participation à 888 Observations
    Part d'aide à la prospection : 95.79 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Non renseigné pour le moment
Largement répandu en Eurasie tempérée et nordique, le Busard Saint-Martin descend hiverner sous les climats plus hospitaliers d’Europe occidentale et méditerranéenne, poussant en Afrique sur le littoral atlantique jusqu’au Sénégal pour les populations occidentales. Sur le territoire du PNC, on peut le rencontrer toute l’année, principalement sur les espaces ouverts d’altitude. 80 % des données se situent au-dessus de 900 m, 43 % au-dessus de 1000 m. Le double passage migratoire est peu perceptible, les données de printemps sont de loin les plus abondantes mais en lien avec des prospections très ciblées sur la recherche d’oiseaux nicheurs, le déclin rapide de cette espèce ces dernières décennies dans la région étant particulièrement préoccupant. Soulignons que sur les 600 données dûment renseignées, 91 57 % concernent des mâles et 43 % des femelles. Quelques données nous informent qu’en période de reproduction, les couples s’installent sur leur territoire dans la deuxième quinzaine de mars, un aménagement de nid est noté le 05 avril 2015, à 1107 m d’altitude, au-dessus de Saint-Julien-du- Tournel, un couple bien cantonné avec offrande du mâle à la femelle le 27 avril 2016 sur le même secteur, une femelle couve sur son nid les 14 et 15 mai 2019 mais encore le 04 juin. Et sur ce même site, ce couple nourrit 4 jeunes tout juste volants le 06 juillet. Sur ce secteur, la nidification a eu lieu en 2014, 2016 et 2021, les oiseaux occupant une lande à genêt dans la haute vallée du Lot. La nidification probable est aussi rapportée du Causse Méjean mais sans précision. La régression de l’espèce est sans doute liée à de multiples facteurs parmi lesquels la prédation naturelle dans des habitats devenus exigus, la conversion de landes en prairies agricoles temporaires et l’écobuage qui privent l’espèce de ses habitats idoines, les landes. Mais le Busard Saint-Martin, plutôt nordique, est peut-être aussi repoussé vers le Nord en conséquence d’une évolution climatique qui rend ce bastion du Sud Massif Central moins attractif. Les landes basses tendent à se refermer plus vite avec une croissance forestière naturellement plus rapide et nombreuses sont celles qui sont débroussaillées pour être reboisées ou converties en parcelles agricoles. La régression de cette espèce depuis la création du Parc national des Cévennes en 1970 est importante et inquiétante. Ce constat a poussé le Parc à développer ces dernières années des démarches contractuelles auprès des exploitants agricoles afin de conserver les dernières landes favorables à cette espèce sur le territoire du Parc.
Pelouses | Prairies
Non renseigné pour le moment
Falco cyaneus Linnaeus, 1766

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles