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  • 48
    observations

  • 20
    communes

  • 23
    observateurs
    1
    organisme

  • Première observation
    1975

  • Dernière observation
    2023
Baty Stéphane - Bernier Bernard - Boyer Jerome - Cuenin Christophe - Deffrennes Benoit - Descamps Régis - Descaves Sandrine - Dugueperoux Franck - Fonderflick Jocelyn - Forestier Thibault - Guillosson Elisabeth - Guillosson Jean-yves - Hennebaut David - Herault Emilien - Herrera Antoine - Karczewski Gaël - Malafosse Jean-pierre - Marie Julien - Meynet Laurie - Picq Hervé - Pinna Jean-louis - Rombaut Cyril - Sulmont Emeric
  • Parc National des Cévennes
    Participation à 48 Observations
    Part d'aide à la prospection : 100.00 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Non renseigné pour le moment
Le Gobemouche gris est un estivant nicheur sur tout le continent eurasiatique occidental jusqu’à la Mongolie à l’est, ainsi qu’en Afrique du Nord et au Moyen-Orient. L’espèce s’en va hiverner dans la moitié sud du continent africain. En France, ce gobemouche a une vaste répartition qui exclut le littoral méditerranéen ainsi qu’une bonne partie de la Provence et du couloir Rhône-Saône. Sur le territoire du PNC, il est contacté au double passage migratoire ainsi que dans quelques vallées et gorges où il se reproduit. Le Gobemouche gris est signalé un peu partout, des plus basses altitudes jusqu’à près de 1500 m sur le Mont Lozère. L’espèce revient principalement au début du mois de mai mais des oiseaux précurseurs, en transit migratoire probablement, sont signalés plus tôt certaines années : le 16 mars, en 2008 à Sainte-Cécile-d’Andorge, constitue une date exceptionnellement précoce, une deuxième date au 18 mars, en 1979 à Valleraugue, puis deux dates au 11 avril (en 2015 et 2017) et au 18 avril (en 2019) restent, elles aussi, très précoces. Le passage est noté au moins jusqu’au 06 juin tandis que les couples reproducteurs locaux manifestent leur territorialité dès leur retour, aux premiers jours de mai : un couple parade un 06 mai. Le nourrissage au nid, ou bien des nids manifestement occupés, sont signalés à partir du 27 mai et jusqu’au 03 août : 23 occurrences dont 1 en mai, 11 en juin, 10 en juillet et 1 en 165 août. Une ponte de 5 œufs est notée le 27 mai 2014 à Sainte-Énimie et l’envol des poussins de ce nid a lieu le 22 juin suivant. D’autres tailles de nichées complètes mentionnent 3 poussins (3 occurrences) et 4 poussins (1 occurrence). Des juvéniles juste envolés (à peine volant ou quémandant) sont signalés à compter de cette date du 27 mai et jusqu’au 09 août (1 occurrence en mai, 6 en juin, 8 en juillet et 1 en août). Puis des juvéniles émancipés sont notés jusqu’au 21 août. Le gobemouche gris semble apprécier la proximité des grands arbres dans les villages du Piémont Cévenol, les ripisylves et les habitations aux murs couverts de lierre - où il peut établir son nid - dans les vallées des gorges du Tarn ou plus haut en altitude. La nichée la plus élevée en altitude est signalée le 12 juillet 2015 à 880 m à Pradines sur le Causse Noir mais l’espèce niche probablement plus haut, notamment dans la haute vallée du Lot où un couple est bien cantonné le 17 mai 2017 à Bagnols-les-Bains à 950 m d’altitude. Le passage postnuptial est assez peu documenté et les derniers oiseaux sont signalés dans le courant du mois de septembre avec deux dates ultimes au-delà : le 03 octobre, en 2019 à Saint-Pierre-des-Tripiers et le 08 octobre, en 2005 à Branoux-les-Taillades en Basses-Cévennes. Le Gobemouche gris est totalement absent l’hiver.
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Motacilla striata Pallas, 1764 | Muscicapa striata striata (Pallas, 1764)

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles