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  • 147
    observations

  • 43
    communes

  • 21
    observateurs
    2
    organismes

  • Première observation
    1998

  • Dernière observation
    2023
Bruce Nicolas - Coenders Sylvie - Costes Geraldine - Deffrennes Benoit - Descaves Bruno - Descaves Sandrine - Devevey Caroline - Fonderflick Jocelyn - Herault Emilien - Jamier Myriam - Jaulin Stéphane - Karczewski Gaël - Lamarche Béatrice - Lemonnier Michèle - Malafosse Isabelle - Malafosse Jean-pierre - Molto Jerome - Picq Hervé - Quillard Valerie - Seon Jean - Sulmont Emeric
  • Parc National des Cévennes
    Participation à 147 Observations
    Part d'aide à la prospection : 100.00 %

    Fiche organisme

  • ONF
    Participation à 2 Observations
    Part d'aide à la prospection : 1.36 %

    Fiche organisme

Informations espèce

L’Antaxie cévenole est une sauterelle mesurant de 14 à 22 mm. Ces ailes abrégées l'empêchent de voler. Les individus sont généralement vert vif, mais parfois brun. Le mâle se reconnaît facilement aux tegmina courts et jaunes et la femelle à son oviscapte long et droit.
Cette espèce est présente en France principalement dans le sud du Massif Central. Le territoire du Parc porte donc une forte responsabilité dans sa conservation. L’Antaxie cévenole est présente de façon relativement homogène sur l’ensemble des massifs du Parc national des Cévennes, à l'exception du Mont Lozère et du cœur du massif Causses-Gorges, où l'espèce n'a pas été contactée, sûrement par manque de prospections dans les milieux arbustifs. Elle a été observée entre 450 m (le 17/08/2013, commune de Saint-Paul-la-Coste) et 1450 m d’altitude (le 06/10/2017 au Mont Aigoual, commune de Valleraugue). Elle est assez commune sur l’ensemble du territoire du PNC et relativement ubiquiste dans la sélection de ces habitats. Elle semble toutefois dépendante d’habitats avec des ligneux bas tels que le Buis ou le Genévrier pour se dissimuler. Elle évite donc sûrement les pelouses dans les secteurs les plus ouverts des Causses. L’Antaxie cévenole est une espèce nocturne. Son chant étant très discret elle est à rechercher par battage. Les deux morphes sont observés sur le territoire du Parc, leur proportion restant à préciser. C’est une espèce plutôt tardive en saison. Les premiers imagos sont observés au mois de juin (date la plus précoce le 18/06/2000, commune de Saint-Martial) et les derniers en novembre (date la plus tardive le 14/11/2015, commune d’Ispagnac).
Non renseigné pour le moment
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Thamnotrizon sorrezensis Marquet, 1877

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles