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  • 266
    observations

  • 37
    communes

  • 52
    observateurs
    1
    organisme

  • Première observation
    1973

  • Dernière observation
    2024
Ambroise Lucie - Barraud Remy - Bertrand Nicolas - Bonnel Celine - Boyer Jerome - Chapelle Brigitte - Chenard Michaël - Deffrennes Benoit - Descamps Régis - Descaves Bruno - Descaves Sandrine - Devevey Caroline - Dinocheau Emmanuel - Fonderflick Jocelyn - Franck Duguépéroux - Gautier Grégoire - Gineste Benoit - Guerin Hubert - Guillosson Jean-yves - Hennebaut David - Herault Emilien - Hopkins Frantz - Hugonnet Serge - Isabelle Malafosse - Jamier Myriam - Jean Bonnet - Karczewski Gaël - Lamarche Béatrice - Laniece Manon - Lucas Philippe - Malafosse Isabelle - Malafosse Jean-pierre - Martin Evan - Mauvais M - Meynet Laurie - Patrice Martin - Peyo D'andurain - Picq Hervé - Portalier Johann - Quillard Valerie - Redon Maxime - Riffard Sigrid - Roland Jaffuel - Rombaut Cyril - Roumejon Thierry - Selosse Lucie - Solier Eléonore - Soliveres Jordi - Sulmont Emeric - Tisne Jean-michel - Tyssandier Manon - Vernier Rémi
  • Parc National des Cévennes
    Participation à 264 Observations
    Part d'aide à la prospection : 99.25 %

    Fiche organisme

Informations espèce

La Pie bavarde est un oiseau de la famille des Corvidés, noir et blanc à longue queue. L’adulte a la tête, la poitrine, le dos et le bas-ventre noirs. Les ailes et la queue présentent un plumage bleu-vert métalliques. L'abdomen est d'un blanc pur. La queue est longue, graduée, avec une bande à reflets violets près de l'extrémité. Le bec puissant est noir. Les yeux sont brun foncé. Les pattes et les doigts sont noirs. Elle fréquente divers milieux : les zones agricoles, les bosquets, les zones ouvertes ou légèrement boisées, les prairies et les abords des montagnes, les parcs et les jardins, même en ville. La Pie est omnivore, se nourrissant d’insectes mais elle consomme également des graines de conifères, de baies, de noisettes. Elle peut manger des détritus, des œufs, des oisillons ainsi que des petits rongeurs.
La Pie bavarde a une très large répartition sur tout le continent eurasiatique, de l’Europe occidentale à l’océan Pacifique dans une large amplitude climatique. Elle est considérée comme sédentaire dans son aire de distribution. Sur le territoire du PNC, elle est bien présente à l’exception des secteurs trop uniformément boisés. Elle est particulièrement inféodée aux espaces ruraux à proximité des élevages. Comme espèce reproductrice, les couples se cantonnent dès le mois de février et en mars comme l’attestent la présence fréquente des oiseaux sur leur site à cette période puis la construction ou la réfection des nids bat son plein entre le 21 mars et la mi-avril avec une date extrême au 20 mai (9 données en mars, 6 en avril et 3 en mai). Les nids occupés, femelle en train de couver ou nourrissage de poussins, sont notés entre la mi-avril et le 28 mai (4 données en avril et 10 en mai) : une donnée précise la présence d’une nichée complète de 4 poussins au nid le 17 mai 2010 à Lanuéjols (Causse Noir). Enfin sept données mentionnent l’observation de juvéniles juste envolés (jeunes quémandant le plus souvent) entre le 18 mai et le 12 juillet. Les familles semblent rester soudées ensuite en juillet et août, mois durant lesquels débutent les premiers regroupements postnuptiaux. Le tableau ci-dessous présente la répartition des données rapportant au moins 7 individus vus ensemble (c’est-à-dire plus d’une famille comptant 2 adultes et 4 jeunes) : on note ainsi que les regroupements ont lieu progressivement dans le 122 courant de l’automne pour atteindre un maximum au cœur des mois d’hiver, de décembre à février, les plus gros rassemblements comptant : 18 individus le 1er septembre, en 2020 sur le Causse Méjean, 32 le 1er octobre, en 2019 à Meyrueis, 11 le 26 novembre, en 2020 sur le Méjean, 18 le 09 décembre, en 2017 à Cubières, 25 le 24 janvier, en 2018 sur le Méjean et enfin, 22 le 10 février, en 2016 près d’Altier. Ces regroupements rejoignent, le soir tombant, des dortoirs qui paraissent assez mobiles sur les secteurs d’hivernage. Répartition des données mentionnant des regroupements, hors période de nidification, de plus de 7 individus ensemble
Non renseigné pour le moment
Non renseigné pour le moment
Corvus pica Linnaeus, 1758 | Pica caudata melanotos Brehm, 1857 | Pica galliae Kleinschmidt, 1917 | Pica pica galliae Kleinschmidt, 1917 | Pica pica melanotos Brehm, 1857 | Pica pica pica (Linnaeus, 1758)

Audio (2)


Eurasian Magpie (Pica pica) (W1CDR0001537 BD28).ogg

CC-BY-SA-4.0 (Wikimedia Commons)
Auteur: Ndalyrose

Pica pica.ogg

PD (Wikimedia Commons)
Auteur: Oona Räisänen (Mysid)

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles