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  • 311
    observations

  • 52
    communes

  • 51
    observateurs
    1
    organisme

  • Première observation
    1973

  • Dernière observation
    2024
Barraud Remy - Bernier Bernard - Bertrand Nicolas - Bonnel Celine - Broussignac Thomas - Bruce Nicolas - Deffrennes Benoit - Descamps Régis - Descaves Bruno - Devevey Caroline - Dissac Yann - Dugueperoux Franck - Fabre Jean-marie - Fonderflick Jocelyn - Forestier Thibault - Garlenc Jean-christian - Garnier Gilles - Gautier Grégoire - Gineste Benoit - Guerin Hubert - Guillosson Jean-yves - Hache Sébastien - Hennebaut David - Herault Emilien - Herrera Antoine - Jamier Myriam - Jys Michel - Karczewski Gaël - Lacoste Florent - Legros Régis - Lucas Philippe - Malafosse Isabelle - Malafosse Jean-pierre - Meynet Laurie - Moschetti Maily - Outrebon Juliette - Picq Hervé - Pinna Jean-louis - Plombat Jean-victor - Quillard Valerie - Ricau Bernard - Roland Jaffuel - Rombaut Cyril - Selosse Lucie - Seon Jean - Soliveres Jordi - Sulmont Emeric - Tisne Jean-michel - Tremauville Y - Vernier Rémi - Zimmerman Samuel
  • Parc National des Cévennes
    Participation à 309 Observations
    Part d'aide à la prospection : 99.36 %

    Fiche organisme

Informations espèce

La Bergeronnette des ruisseaux est une espèce de petite taille, élégante, à l’allure élancée, balançant constamment sa longue queue ce qui la différencie des autres Bergeronnettes. En période nuptiale, le mâle porte une bavette noire, une poitrine d’un jaune vif jusque sous la queue, la femelle plus terne ayant la gorge blanche. Ses milieux de prédilection sont les rivières et petits cours d’eau, et c’est sur les cailloux que l’on aura le plus de chance de l’apercevoir chasser avec habileté les petits insectes et nymphes de libellules.
La Bergeronnette des ruisseaux est observée en période hivernale, dans les gardons Cévenols à basse altitude et dans les Gorges du Tarn (de 300 à 700 m). Elle accède au printemps à des altitudes plus importantes, sur les ruisselets du Mont-Lozère et de l’Aigoual où elle est rarement observée au dessus de 1500 m. Cette espèce est contrainte de migrer par la suite vers les vallées, lors d’hivers trop rigoureux. Les premiers chants se font entendre dès la mi- février sur la majorité des cours d’eau. Une reproduction précoce est notée le 20 avril sur le Tarnon vers Florac, et trois juvéniles juste volants sont observés sur le Tarn le 20 juillet 2010 à l’altitude de 1319 m sur le Mont-Lozère. L’espèce en nidification n'est pas signalée au dessus de 1400 m, probablement dû à un manque d’attention de la part d’observateurs et elle serait à rechercher sur les ruisseaux et tourbières du Mont-Lozère et de l’Aigoual.
Non renseigné pour le moment
Non renseigné pour le moment
Motacilla caspica (Gmelin, 1774) | Motacilla caspica grisea | Motacilla cinerea cinerea Tunstall, 1771 | Parus caspicus Gmelin, 1774

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles