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  • 79
    observations

  • 34
    communes

  • 33
    observateurs
    1
    organisme

  • Première observation
    1995

  • Dernière observation
    2023
Barraud Remy - Bertrand Nicolas - Boyer Jerome - Chenard Michaël - Costes Geraldine - De Feraudy Edwige - Deffrennes Benoit - Descamps Régis - Descaves Bruno - Descaves Sandrine - Fonderflick Jocelyn - Fort Clément - Garnier Gilles - Gineste Benoit - Hennebaut David - Herault Emilien - Holstein Véronique - Jamier Myriam - Karczewski Gaël - Lucas Philippe - Malafosse Isabelle - Malafosse Jean-pierre - Martin Patrice - Meynet Laurie - Molto Jerome - Redon Emilie - Rombaut Cyril - Roux Pauline - Selosse Lucie - Sulmont Emeric - Thomas Nathalie - Tyssandier Manon - Zimmerman Samuel
  • Parc National des Cévennes
    Participation à 79 Observations
    Part d'aide à la prospection : 100.00 %

    Fiche organisme

Informations espèce

Cet inoffensif lézard sans pattes luisant et allongé est parfois confondu par les promeneurs avec un serpent : son surnom de « serpent de verre » provient du fait que sa queue se casse facilement lorsqu’il est capturé. Il mesure près de 30 cm de longueur et présente un dimorphisme sexuel très marqué : le mâle, plus gros, est uniformément gris-brun, parfois ponctué de petites écailles bleues sur le dos et la femelle, plus contrastée, a les flancs noirs et le dos brun traversé par une ligne médiane sombre. Enfin, le juvénile présente la même robe que les femelles mais la couleur de son dos est d’un beau jaune d’or.
L'Orvet fragile aime bien s'enfoncer dans la litière des sols forestiers à la recherche de lombrics, d’insectes, d’araignées, mais aussi de limaces et d’escargots. Il est également bien présent dans les jardins non traités et riches en caches où il devient alors un véritable auxiliaire du jardinier. Bien que réparti sur l’ensemble du territoire du Parc national des Cévennes, l’Orvet semble moins fréquent dans les milieux plus secs, dénudés et aux sols squelettiques comme ceux du Causse Méjean et des Cans où il se maintient essentiellement dans les milieux boisés. En revanche, il apprécie les habitats forestiers du massif de l’Aigoual, du Nord du Mont Lozère et de l’ensemble des Vallées Cévenoles. Il est présent depuis le sommet du Mont Aigoual à 1560 m d’altitude jusque dans les plus basses vallées d’influence méditerranéenne, comme à Anduze où il est noté à 123 m. Il est à rechercher dans les Gorges du Tarn et de la Jonte, ainsi que dans l’Est et la partie du Sud du Mont Lozère où il est peu observé bien que ces secteurs présentent a priori des habitats favorables. L’Orvet est observé depuis la deuxième décade de mars jusqu'à la deuxième décade d’octobre, avec de rares données plus hivernales comme le 18/02/1992 à Bassurels ou le 30/11/2000 proche du Lac des Pises.
Milieux boisés
Non renseigné pour le moment
Anguis eryx Linnaeus, 1758 | Anguis fragilis fragilis Linnaeus, 1758 | Anguis gamma Roubieu, 1825 | Anguis orvet Lacepède, 1789 | Anguis vittatus Gravenhorst, 1832 | Dorfia punctata Gray, 1839

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles